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Calculs rénaux, leur analyse permet d’éviter la récidive

Calculs rénaux, leur analyse permet d’éviter la récidive

L’urétéroscopie souple et la lithotritie extracorporelle sont aujourd’hui les traitements de référence pour les calculs rénaux. Mais, ces techniques ne permettent pas d’étudier les causes et facteurs d’apparition de ces calculs. Une préoccupation qui était au cœur des débats du 111ème congrès de l’AFU qui s’est déroulé du 15 au 18 novembre 2017.

L’urétéroscopie souple, la lithotritie extracorporelle et la chirurgie percutanée sont les trois techniques employées pour détruire les calculs rénaux. La dernière, plutôt réservée aux calculs supérieurs à 2 cm, est de plus en plus marginalisée grâce à une détection précoce des gros calculs rénaux. Les deux premières assurent donc une grande partie des 50 000 traitements de calculs rénaux en France.
Si leur efficacité est avérée, elles présentent toutefois un inconvénient : la destruction du calcul ne permet plus d’en faire l’analyse morphologique complète. Celle-ci est pourtant nécessaire pour comprendre l’origine de la maladie lithiasique (on parle de bilan étiologique) et éviter les récidives. Ce bilan contribue également à repérer une néphrocalcinose (excès de dépôt calcaire dans les reins) ou une maladie rare. Scanner, images endoscopiques de calculs et analyse biologique guident cette démarche étiologique.

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